Les aventures musicales de deux potes

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lundi 24 mars 2014

GRAND JEU / RECAPITULATIFS ET SUPPLEMENTS

 
 
  Pour clôturer cette 8e édition, je vous propose un petit récapitulatif de nos choix, ainsi que quelques-uns de mes choix alternatifs (c'est Alexandre qui écrit là). Je voulais parler uniquement de disques sortis après 2000, vous aurez donc quelques-uns de mes choix rejetés car antérieurs à cette période.
 
  Et enfin, à côté de chaque thème, le lien pour écouter la chanson qui par ses paroles a inspiré l'intitulé du thème. Et c'est pas parce qu'une chanson est là que je l'aime hein, je précise. Je pense à la 1ère notamment.
 
Désolé si la présentation est un peu dégueulasse, elle est très bien ici, mais quand je fais "aperçu", c'est pas du tout ce que moi je vois quand je mets en page, et c'est horrible.
 
Here we go !
 
 
 

1)      « Oh honey why don’t you come back ? » lien
 
Le disque du retour : pour le meilleur ou pour le pire ? A vous de choisir.
Etienne :
Bobby Womack – The Bravest Man In The Universe (2012)
 
Alex :
Babyshambles - Sequel To The Prequel (2012)
 
 
Choix alternatifs d'Alex :
David Bowie - The Next Day (2012)
My Bloody Valentine - mbv (2013)
Jackson & His Computer Band - Glow (2013)
 
 
 
2)      « There’s too much too much too much » lien
 
Un disque beaucoup trop compliqué, indigeste, ampoulé, il y a un peu trop de tout partout mais…. C’est pour cela que vous l’aimez
 

Etienne :
Thomas Brinkmann - Klick (1999)
 
Alex :
Oukast - Speakerboxxx / The Love Below (2003)
 
 
Choix alternatifs d'Alex :
 
Of Montreal – Skeletal Lamping (2008)
Kanye West - My Beautiful Dark Twisted Fantasy (2010)
Sufjan Stevens - The Age Of Adz (2010)
Passion Pit - Gossamer (2012)
 
Late Of The Pier - Fantasy Black Channel (2008)

Paul McCartney - McCartney II (1980)

 
 
 
3)      « Je lui dirais les mots bleus, les mots qu’on dit avec les yeux » lien
 
Un disque qui se passe de mots, et très bien, merci !
Etienne :
Gonzales - Solo Piano 1 (2004)
 
Alexandre :
Air - The Virgin Suicides (2000)

 
 
 
 
 
4)      « There’s no future, no future, no future for you ! » lien
 
Le disque que vous écoutez quand tout semble sans issue, histoire de se rouler dans le désespoir.
Etienne :
El Hajd N'Diaye -Géej (2008)
 
Alex :
Richard Hawley – Truelove’s Gutter (2009)
 
        Choix alternatifs d'Alex :
 
John Lennon – Plastic Ono Band (1970)
Frank Sinatra – In The Wee Small Hours (1955)
Pink Floyd – Set The Controls For The Heart Of The Sun (1968)
 
The XX - XX (2009)
 
Joy Division - Unknown Pleasures (1979)

Kanye West - 808s and Heartbreak (2008)

James - Laid (1993)

The Velvet Underground - The Velvet Underground (1969)

XTC - Mummer (1983)

Grizzly Bear - Veckatimest (2009)

 
 
 
 
5)       Let’s Get It On  lien
 
Le disque qui vous donne envie de jouer des hanches. Et je ne parle pas de danser.
Etienne :
Stan Getz & Joao Gilberto - The Best Of Two Worlds (1976)
 
Alex :
Jagwar Ma - Howlin (2013)
 
 
Choix alternatifs d'Alex :
 
Ike Reiko - Kokotsu No Seka (1971)
Barry White - Can't Get Enough (1974)
!!! - Myth Takes (2007)
Scarlett Johansson & Pete Yorn - Break Up (2007)
Arcade Fire - Reflektor (2013)
D’Angelo – Brown Sugar (1995)
Norah Jones - The Fall (2009)
Factory Floor – Factory Floor (2013)
David Bowie – Young Americans (1975)

The Black Keys - Brothers (2010)

Of Montréal - False Priest (2010)

Justin Timberlake - FutureSex/LoveSounds (2006)

Arnaud Fleurent-Didier - La Reproduction (2010)

 
 
 
  
6)       It’s just a reflektor lien
 
Deux albums, deux pochettes qui se répondent.
Etienne :
Pink Floyd - The Piper At The Gates Of Dawn (1967)
Thee Oh Sees - Floating Coffin (2013)
 
Alex :
Diana Ross – Diana (1980)
LCD Soundsystem - This Is Happening (2010)

 
 
 
 
7)       I want to drive you through the night, down the hills 
 
Vous mettez cet album dans l’autoradio. Et vous conduisez toute la nuit. Pour aller où ? Là n’est pas la question.
Etienne :
Bot'Ox - Babylon By Car (2010) lien
 
Alex :
Sisyphus - Sisyphus (2014) lien
 
 
Choix alternatifs d'Alex :
 
John Coltrane – A Love Supreme (1964)
Pharoah Sanders – Black Unity (1971)
Damaged Bug – Hubba Bubba (2014)
Egyptology – The Skies (2010)

Four Tet - There is love in you (2010)

Kraftwerk - Autobahn (1974)

Kendrick Lamar - Good. Kid, M.A.A.d City (2012)

Ice Cube - The Predator (1992)

La discographie de Gérard Manset

 
 
 
 
Encore une fois, merci à tous les participants !
 
Alexandre
 
 
 
 


dimanche 23 mars 2014

GRAND JEU / PART 7 bis (le choix d'Alex)



«I want to drive you through the night, down the hills»


Vous mettez cet album dans l’autoradio. Et vous conduisez toute la nuit. Pour aller où ? Là n’est pas la question.


Le choix d'Alexandre:

  Tout d'abord, je voudrais m'excuser pour le léger retard, mais j'ai eu une urgence type "heures supplémentaires" qui a contrarié mes plans pour ce samedi. A l'heure à laquelle j'écris, il me reste 32 minutes pour finir ce billet le 22/03. Pas encore vraiment en retard donc, il y a encore moyen de s'en sortir sans trop de casse.
 
 
Sisyphus - Sisyphus (2014)
 
 
 
  Qu'est-ce qu'on attend d'un album de voiture, quand on conduit le soir ? A mon sens, 4 choses. Etre assez varié pour ne pas s'ennuyer, assez accessible pour ne pas se prendre la tête avec, un peu mélancolique pour coller à l'état d'esprit introspectif d'une fin de soirée passée seul, mais avec assez de poussées d'énergie positive pour ne pas avoir envie de prendre volontairement le fossé non plus.
 
Mes amis, j'ai le plaisir de vous annoncer que j'ai votre album.
 
  Mais d'abord, Sisyphus, c'est qui ? Je ne vais pas vous faire l'injure de vous rappeler l'origine grecque du nom (si vous ne connaissez pas le mythe de Sisyphe, ne vous en voulez pas non plus, un tour sur un moteur de recherche et vous aurez un truc intelligent à raconter au prochain dîner).
 
  Non, je parle du groupe derrière cet album. D'ailleurs je viens de réaliser un truc. Je vais dire un gros mot, mais Sisyphus est.... un supergroupe.
Les lecteurs du fond, faites moins de bruit en partant s'il vous plaît, le premier rang de l'amphi veut rester écouter la suite quand même, merci.
 
  Où en étais-je ? Ah oui, supergroupe. Parce qu'il est constitué de trois membres ayant une carrière déjà bien remplie, chacun de leur côté. Le génial rapper "indé" Serengeti, le producteur de génie Son Lux, et le génie absolu Sufjan Stevens. Et pour une fois, le rendu est digne de la somme de ses parties, ce qui je l'accorde est rarement le cas. Combien de supergroupes décevants pour un vraiment enthousiasmant ?
 
  Eh bien celui-là fait partie de la 2ème catégorie. Ils ont en effet sorti un disque qui va compter cette année, et dont on a déjà un peu parlé en propulsant "Rythm Of Devotion", chanson du mois dernier. Ce qui n'a pas été évident, parce qu'avec Etienne, on avait un sacré paquet d'excellentes chansons qui étaient dans la course.
 
  Mais vous vous doutez qu'avec des personnalités aussi différentes, on navigue entre plusieurs univers musicaux. Globalement, vous entendrez du hiphop, et de la pop (électronique). Et une des principales craintes concernant ce disque est dissipée assez rapidement. En effet, on reste dans une certaine forme de sobriété au niveau des arrangements. On aurait pu craindre une overdose, Sufjan et Son Lux ayant tendance à rajouter couche sur couche dans leurs travaux récents respectifs, la surenchère n'était pas loin. En fin de compte, ils ont évité cet écueil avec brio, en alternant passages près de l'os et poussées lyriques avec brio.
 
  J'ai du mal à décrire la musique, je sais bien que je tourne autour du pot depuis tout à l'heure. Quelques mots, donc. La musique est assez magique, le jeu tout en tension  entre retenue et poussées de fièvre est réalisé avec un talent fou. Les voix alternées de Serengeti, Sufjan Stevens, et les chœurs, sont divin(e)s. Les morceaux sont diablement bien construits, et souvent de façon peu conventionnelle, avec plein de petites ruptures et changements de rythmes. La pop juste comme je l'aime donc. Et de ce que j'ai écouté des paroles, c'est plutôt bon aussi. Carton plein, donc.
 
  Pour finir, je vais me contenter de vous dire que ce disque est un voyage, et qu'il accompagnera merveilleusement n'importe quel moment de votre vie, si vous tentez l'expérience. Mais si vous voulez passer en magasin acheter la petite rondelle, pour la mettre dans votre autoradio, l'expérience risque d'être magique. Un disque de très haute volée, très intelligent, mais pas prétentieux pour un sou, et qui fait du bien.
 
 
Ca me suffit amplement. Et vous ?
 
Ecouter sur :
 
 
 
 
  Et mince, je publierai donc le 23. Retard officiel donc. Bon, vous ne m'en voudrez pas trop pour un quart d'heure, j'imagine.
 
 
  En tous cas, merci beaucoup à tous pour ce jeu, j'espère que vous avez apprécié nos thèmes. A bientôt pour d'autres aventures. Et pour ceux que ça intéresse, je ferais comme la dernière fois un petit bilan/récap de ce GJSF08 dans les jours à venir, avec nos choix, mes choix alternatifs (et ceux d'Etienne s'il le souhaite), et la playlist des chansons qui ont donné leurs titres aux thèmes. Vous pouvez essayer de deviner desquelles il s'agit,  ici en commentaires, si vous êtes d'humeur joueuse.
 
A bientôt les copains !
 
 
Alex
 
 
 
 
 
  



samedi 22 mars 2014

GRAND JEU / PART 7

«I want to drive you through the night, down the hills»
Vous mettez cet album dans l’autoradio. Et vous conduisez toute la nuit. Pour aller où ? Là n’est pas la question.


Le choix d'Etienne :


Bot'Ox - Babylon By Car ( 2010 )


     Dans "ma" médiathèque comme dans beaucoup de médiathèques les compilations sont placées en premier dans le rayon d'un genre. J'ai donc découvert ce groupe quand, pour la première fois de ma vie, j'ai mis mon nez dans cette section, et ceci dans le rayon électro. J'ai alors choisi, au hasard, la pochette qui m'inspirait le plus, en l’occurrence un terrain de foot in-door avec pour but des enceintes et surtout un label dont le logo était un cadi. Peut être cela me rappelait-il le Super Discount d'Etienne de Crecy. Cette compilation très sympa sortie en juin 2009 c'est Various Moments Of Crisis, petit récapitulatif des productions de Cosmo Vitelli sorties sous son label parisien I'm a Cliché depuis sa création en 2004. On y trouve de grands noms comme Yuksek  ou Etienne Jaumet de Zombie Zombie et des noms moins connus. Mais il y a surtout deux morceaux  Crashed cadillac et Car Jacked, du groupe de Cosmo Vitelli, Bot'ox, qu'il constitue avec Julien Briffaz depuis 2005. C'est très précisément Crashed Cadillac, pour lequel je suis tombé viscéralement amoureux et que j'ai du écouter en boucle pendant plus d'une heure en le découvrant, mon canapé se goinfrant de mon postérieur. Ce titre m'a donc logiquement mené découvrir ce groupe et cet album dont sont tirés les deux morceaux.


La compilation Various Moments Of Crisi
   
     D'abord petit présentation des deux membres du groupe car c'est passionnant. Et je précise que les deux artistes, venant au départ d'univers musicaux différents, ont eu et ont des carrières solos/groupes de leur côté mais ils s'unissant à l'occasion pour ce projet, comme ce fut le cas pour Babylon Car ou Sans Dormir, leur second album sorti en 2013.

  • Julien Briffaz a commencé la musique dans le rock, mais étudiant il fonde BrifRec, premier label à signer de la House minimaliste en France, comme ARK ou des remix de Mr oizo. Il se tourne donc vers la House et créer avec Loïc Le Guillon, le duo [T]ékël. Il fonde aussi le studio La Truite où il a pu collaborer avec Para One ou Syd Matters.

  • Benjamin Boguet  ( aka Cosmo Vitelli ) débute lui sur groupe indé ( "Perio" ) dans la première partie des 90's. Puis sa carrière commence en 1997 avec la sortie d'un maxi du nom de Comso Vitelli sous le label d'Etienne de Crecy, Pierre-Michel Levallois et Alex Gopher, Solid. Après ça il se fera DJ et mixera dans de nombreux clubs européens et sort en parallèle quelques  titres et remixs. En 2001 il sort le tube qui fera exploser sa carrière, Part Day, repoussant ainsi celle de son premier album, Clean, en 2003, et lui laissant alors le temps de participer à l'enregistrement de 10 000 Hz Legend de Air. En 2004 il créer le label I'm a Cliché, permettant de faire émerger des artistes comme Yuksek. Puis en 2005 il créer Bot'ox et vous connaissez la suite.

Cosmo Vitelli à gauche, Julien Briffaz à droite

     Pour ce qui est de l'album, c'est un "road trip" dense et cadencé, ou s'entrelace bruits, sons électro et guitares rock pour en rendu entre dream-pop et krautrock. Le thème automobile est annoncé dés le nom de l'album et repris sur les différents titres, et culmine sur l'excellent Crached Cadillac. En effet l'ambiance sombre  nous emmenant au bord de la désorientation spatio temporelle. Parfait pour rouler au rythme des jonctions de pavés de béton vieille autoroute allemande, à la lueur du crépuscule. Un autre titre se démarque, et constitue même le meilleur morceau de l'album, c'est Blue Steel, dont je souligne le sublime clip. Il est intéressant de constater que leurs concerts se faisaient en live instrumental ( ils jouent guitare électriques ... ) ce qui n'est pas très courant  pour ce genre de musique.




     Leur bon, mais peut être inférieur, deuxième album, Sans Dormir est sorti en novembre  2013, même si on avait pu découvrir au fil d'un très original fractionnement de cette sortie à un rythme trimestriel. ( tous les 3 mois sortait 1 ou 2 titres, avec des remixs de ceux-ci, jusqu’à aboutir en novembre à l'album en entier ). 
     
Par là les oreilles :

Plus d'infos :




Et en bonus, Human After All ( et merde à ceux qui me chieront à la gueule ! ), juste parce qu'avec ce thème je ne peux m’empêcher de penser à cette sublime scène du film Electroma et à cette ferrari 412 de 1987 que vous auriez pu acquérir au prix de 25 000£ sur ebay, au profit des sinistrés du tsunami au Japon.




Etienne

P.S. : Ne vous inquiétez pas, si Alexandre n'a pas encore publié son choix, ce n'est pas le début d'une rupture entre nous, mais bien car il est très très très occupé en ce moment. Alors patientons  tous jusqu'à ce soir ou demain.




mercredi 19 mars 2014

GRAND JEU / PART 6

« It’s just a reflektor » 


Deux albums, deux pochettes qui se répondent. 

Le choix d'Etienne :

Thee Oh Sees - Floating Coffin (2013 )



Pink Floyd - The Piper At The Gates Of Dawn ( 1967 )


     Deux albums dont la filiation plastique m'a sauté aux yeux, je ne sais pas pour vous. Peut être parce que ce sont mes deux albums préférés dans les discographies respectives de ces deux groupes ( sur ce que j'en connais en tous cas ). Malgré 46 ans les séparant, ces deux albums de ne sont pas si éloignés, tant au premier coup d’œil par ces deux pochettes d'images répétées et fusionnées annonçant de façon enfumée et échogène le contenu, qu'à l'écoute par ce style rock psychédélique en commun. Ainsi l'un est le père du genre, tandis que l'autre un des derniers nés. Mais les fondements restent les mêmes avec leurs guitares lacérées et  agressives, leur chant échogène, leur "basse de précision", une tension omniprésente et cette gravité dans l'ambiance.

                               Pink Floyd - The Piper At The Gates Of Dawn ( Spotify )
 

Etienne
 
 
 
Le choix d'Alexandre : 
 
Diana Ross - Diana (1980) &....
...LCD Soundsystem - This Is Happening (2010)
 
 
 
  Pourquoi ces disques ? Excellente question, tout d'abord parce qu'ils sont tous deux excellents, dans un genre plus ou moins discoïde ("Diana" a été produit par Chic, maîtres du genre, versant funky, et "This Is Happening" rappelle entre autres les meilleures pages du disco synthétique des années 70-80).
 
  Tous deux possèdent d'énormes tubes, comme "Dance Yrself Clean" pour LCD Soundsystem, où James Murphy concrétise ENFIN sa formule à base de crescendos infernaux dont il a le secret, non pas par un mais deux climax. Brillant. On retrouvera pêle-mêle, dans l'album : le Velvet, de l'indus, l'ombre de Bowie période "Heroes", de la synthpop, et beaucoup de disco donc, en mode électronique. Un voyage à faire absolument. Et encore, ce n'est pas son meilleur disque, c'est vous dire le talent du gars.
 
  Si on parle tubes chez Diana Ross, on peut citer tout l'album, mais les plus immédiats sont surtout "Upside Down", et surtout le génial "I'm Coming Out", une des plus grandes réussites de la Chic Organization. Que l'on soit dans un domaine purement disco, ou dans des ballades plus soul-pop façon Motown, Dirty Diana assure. Et pas qu'un peu. Un très grand disque. 
 
  Mais et les pochettes alors ? J'y viens. Car outre le genre musical, ces albums possèdent quelques similitudes, graphiques cette fois-ci. Tout d'abord, ce qui saute aux yeux, c'est l'utilisation futée de la pochette du vinyle pour y insérer une photo plus grande, format portrait. Ce qui nous permet de voir James Murphy s'éclater comme un fou en dansant, et d'admirer Diana.... être Diana, tout simplement. Les deux photos, noir et blanc, sont en outre plutôt classes.
 
  Même si ce type de pochette n'est pas exclusif à ces deux disques, il n'est pas interdit de penser que Murphy, fan de disco, ait été inspiré par le classique qu'est "Diana". Personnellement, dans ce genre de cas, je ne crois pas aux coïncidences. Et vous ?
 
 
Pour écouter ces albums :
 
Diana Ross (spotify, deezer) / LCD Soundsystem (spotify, deezer)  
 
 
Alexandre